Tu sentirais presque
le sang battre
à ta tempe
à ton coeur
Les fenêtres s’ouvrent
se ferment
à ton regard
au temps qui va
Et personne n’entend
le rire des anges
grelots dans ta gorge
la caresse du vent
dans tes cheveux de soie
Marcher dans le vent, avec son bagage, invisible.
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J’aime bien la structure aérée de ce poème, qui va avec son atmosphère douce, à peine amère.
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ton poême me parle, j’entends le rire du temps qui passe, le vent qui souffle dans tes cheveux, je vois ouverte la fenêtre de ton coeur, je sens battre le sang … et les notes de la vie se pianotent encore … amitié .
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