(…) Alors aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lèvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l’on n’a pas su retenir.
Antoine Paul
(…) Alors aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lèvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l’on n’a pas su retenir.
Antoine Paul
Carnet de bord de Diane Alazet
Vous m'avez deviné ?
Ecriture et peinture - Le reflet de mon travail quotidien dans l’art.
Quelques mots qui se mêlent et s’emmêlent..
Carnets & Art postal
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
La Poésie allume l'énergie.
Poésie. Le sens des sens comme essence de l'être
De tout ... un peu.
... le premier matin du monde est aujourd'hui ...
Les vertus de l'écriture
Textes poétiques et d'actualité -nulle part ailleurs !
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
La poésie ou... la poésie
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Un site utilisant WordPress.com
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Un petit rien, quelques fils de soie, des petits cailloux blancs dans la poche...
Longtemps que je n’avais pas entendu Brassens. Et les Passantes, d’un inconnu si je ne me trompe pas. Merci de cela. Tu es donc retournée au musée Rodin ? C’est toujours une beauté dans les yeux.
J'aimeJ'aime
Je me suis si souvent approprié cette chanson à la guitare …mais écouter Brassens donne tout le charme à ces paroles. La semaine dernière , pas le temps de passer au musée Rodin, juste vu quelques oeuvres au musée d’Orsay. Merci pour cette belle évocation Bises Dan
J'aimeJ'aime