Il n’y a pas de hasard, dit-il
Advient ce qui doit
Elle se hasarda
du bout des doigts
Ne t’inquiètes pas, dit-il
Reste sereine
Elle se tint inquiète
sur le bord du couvercle
Au palpitant des émotions
A la marée montante
A la lune ronde
Elle le porta haut, à bout de corps
« on appelle ça le désir » avait-il dit…
Du bout des doigts, toucher la mort Juste pour voir Cette déconfiture Le couvercle a glissé Les ombres dans mes ongles Le sang aux commissures Les perles dans son regard Le dessein du hasard M’attrape, M’échappe, M’écharpe
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Ronron.
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Une histoire qui se tisse avec le temps. Les choses adviennent quand on l’a décidé, quand on le veut fort, et en conscience. On est « en état » de les accueillir » de les faire venir à soi…. Elles viennent alors à pas de loup, avec toute la force de la douceur qu’on avait voulue.
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