De ses doigts délicats
de tiges de roseaux
étaient nées des lianes tressées
Au creux de sa jupe,
de la chanson du vent
notes retenues
Au soir,
des notes vagabondes
enlianées, éclairaient le ciel
En un souffle précieux
A ces lèvres perlées
l’eau du ruisseau pépiait
Elle chantait…
Quel bonheur cette vidéo ! Une préciosité dans un écrin de fraîcheur, une source… Elle m’enchante, cette vidéo. Une ode à la douceur, à la tendresse, à la lumière. Elle te ressemble…
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Je la regarde, la re regarde… C’est superbe cette fin, ce « C comme Corinne » qui apparaît comme ça, une ponctuation ou un baiser qui serait déposé. Que l’ensemble est délicat !
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