Hier soir, Café de la danse. Paris.
Je préfère oublier les deux premières artistes sur scène. Jeanne Added et la chape de plomb qui envahit la salle, triste…Et puis arrive Laetitia Sheriff. Oui ça semble bien et puis, là, tout dérape. Guitare électrique, on se demande pourquoi. Les mots trébuchent à ses lèvres. Bouh, le doute m’assaille. Je me suis trompée, tout semble faux.
Deux heures de spectacle, La salle se lasse.
Réglage des micros, essai de guitare électrique, branchements en tout genre. Les lumières s’éteignent.
Lisa Portelli entre en scène,guitare électrique en bandoulière.
Un feu follet, une funambule envahit la scène. Cette fille est la vie. Les chiens dorment, l’Horizon… Tout est là à portée d’émotion. Une émotion de la vie.
Les morceaux s’enchainent et le temps n’a plus prise. Elle est une beauté.
Et quand, dans des lumières enveloppantes, elle entame « dans l’air », je sais que cette fille de 24ans comptera fort dans les années qui viennent.
Elle a amené dans ses valises, une guitare qu’elle maîtrise extrêmement bien, des mots émotions, un dynamisme communicatif, une fantaisie visuelle. Elle est fraîcheur, bonheur.
A voir, à écouter. J’attends son deuxième album avec impatience !
Il y avait hier soir, à Paris, une funambule
Dans l’air
Le régal….ha, ha ,ha
Le régal… Quel régal, en effet ! Quel moment… hi hi hi
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on va aller écouter ça !
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