Novembre à la terrasse
Au chaud de l’émoi
Les doigts se cherchent
Les volutes de fumée
Au-delà de ton épaule
Dessinent les mots
Nappe de papier blanc
Tatouée, déchirée
A ta poche glissée
Les volutes de fumée
Au-delà de ton épaule
Dessinent les sourires
A la pétillance de l’eau
Les verts mêlés
Eclaboussent le silence
Les volutes de fumée
Au-delà de ton épaule
Dessinent le trouble
Les volutes de fumée
Au-delà de ton épaule
Dessinent le bonheur d’être là
Les volutes de fumée
Au delà de ton épaule
Au-delà de ton épaule
Dessinent, dessinent
Le désir d’être à demain
A demain, à demain, à demain
Encore cette attente du lendemain… J’aime beaucoup ces volutes de fumée qui prolongent l’expression de la bouche et du visage. Bises Dan
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« Les volutes partent en fumée… » Dans la tête la chanson de Baschung…
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