Une chute vertigineuse, une descente abrupte
Il est tombé si vite, qu’il s’est fait mal aux sentiments
Toucher le fond, du monde et de soi
Il n’a pas pu, se poser en douceur
Renouer avec un présent qui fait mal
Il n’a pas su reprendre son souffle
Un monde qui fait peur
A t-il dit
Vivre au quotidien, dans le gris
La couleur existe-t-elle dans un ailleurs
Partir, tout recommencer
A t-il dit
Je pensais que seules les femmes pleuraient après l’amour…
» Il est tombé si vite qu’il s’est fait mal aux sentiments ». J’aime beaucoup ce vers volontairement pauvre ; » se faire mal aux sentiments » pourrait passer pour une maladresse aux yeux des incultes ; alors que c’est précisément là que naît l’émotion car elle est dite sans apprêt. Mozart disait qu’il voulait dans sa musique un peu de pauvreté. Je pense la même chose en poésie.
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http://www.deezer.com/fr/music/home/general-0#music/sir-simon-rattle-berliner-philharmoniker/le-parfum-histoire-d-un-meurtrier-300710
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Ben…, ben… quatre jours que je ne te lis pas… ben ! ça veut dire quoi ça, hein ? Ca veut dire quoi ? Hein ? Ben quoi… ? tu fais le pont ? Tu boudes ? Tu dors ?… …tu rêves, alors ?
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http://www.deezer.com/listen-4617127
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Bonjour, Le dernier commentaire de Marie Claude me fait penser à une chanson d’Agnès bihl http://www.deezer.com/listen-4617127 Sinon, je ne pleure pas en tant qu’homme, c’est parfois tout intérieur et je ne crois pas que c’est mieux mais ce sont des choses qui ne se commandent pas… Par contre, vouloir tout quitter, partir, ce sont des choses possibles !!! Vouloir tirer en trait su son passé mais un jour, il ressurgit, parfois c’est bien, parfois non… Bonne semaine à toi…Au plaisir de te lire..
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je pleure, tu pleures il pleure … Nous pleurons tous nos amours déchus … triste de voir un ami pleurer !
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Mais bien sûr, mais bien sûr !!!! Je savais pourtant ! mais notre place, notre place, rétrécie à l’espace d’un banc… Je te serre tout plein.
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La maison de Victor Hugo, tu diras où c’est. C’est une bonne idée ça, les portraits d’écrivains. Chic alors !!! si tu savais ! Baisers doux
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Seules les femmes pleurent après l’amour, heureusement que non. Les émotions les plus fortes ne trient pas leurs larmes. Enfin je ne crois pas… Je te serre. Ici, tu entends, la pluie bat les toits et les pavés des rues. Et à Paris ? Leapluie la poétise, forcément !
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