Je me tiendrai là dans l’attente. Dans ces jours qui encore nous séparent.
Silhouettes de vous en contrejour, à la lumière des réverbères.
Des ombres là qui grimpent sur les murs vers les toits de Paris. Sur la terrasse de Beaubourg. Un cadeau.
Des pas là dans les allées du jardin des Tuileries. Les feuilles or et brunes poussées par le vent.
Et puis ce petit café resto, ancienne boulangerie, au coin de la rue de l’Hôtel de Ville.
Un petit arrêt rue des Rosiers. Un autre, sur notre banc.
J’irai samedi, vous y chercher.
Y laisserai quelques cailloux blancs. Au cas où,.. Ne vous perdez pas en route ! je vous attends.
Ah je les trouverai tous tes petits cailloux blancs, y ajouterai quelques-uns des miens. Complices les uns des autres, ils seront là, dans une coupelle. Paris a des senteurs marines, tout d’un coup. Notre banc nous attend encore. Des baisers, baisers en vrac.
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Bonjour Corinne Histoire moderne du petit Poucet et des cailloux blancs Amicalement
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On s’y croirait. Tes images m’emmènent sans effort vers toi et même sans cailloux blancs, je crois que je te retrouverai. Amitiés
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