Il fait trop lourd ce soir, corps moite, l’orage est tout près sans doute.
Déjà un peu en moi, je le sens… »quelque chose qui tremble » , les lames des patineurs
ne sont pas loin de mon coeur.
Un trop plein d’émotions qui me monte encore aux yeux
Une silhouette qui me suit pas à pas dans la lumière.Les mots sont encore accrochés
dans les arbres de la Place. Mon corps de papier mâché s’est imprégné de tes couleurs.
Les volutes blanches ont emporté ce qui était sous clé. L’empreinte de ma bouche rouge sur le filtre
blanc est posée dans le caniveau.
Je me regarde, mais qui suis-je donc ?
Je suis la femme à tiroirs, à tiroirs ouverts ce soir…
Ton texte est très beau. J’ai beaucoup d’émotions à te lire. Baisers du début de soirée.
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et si tu laissais ce tiroir ouvert … tes mots-trésors ne doivent pas rester cachés !
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