A chaque carrefour, la foule
A chaque arrêt, une porte qui s’ouvre
Des rails à n’en plus finir
Et puis toujours partir
Des visages dans l’ombre des pensées
Et puis un qui vous suspend
Une silhouette qui vous tient éveillée
Une enclave dans le mouvement
Une oasis dans le tourment
Un tatouage au dedans de soi