Dans la voiture, en boucle.
Les mains se desserrent
Sur le temps qui passe
Les cils percent neige
Et rien ne se passe
L’oiseau blotti dans le coeur
De froid et de vide se meurt
Au dedans bat la douleur
Qui fendille le coeur
S’accrocher en miss catastrophe
Aux choses qui reviennent
Un train en sens unique
Immobile sur une voie de garage
Bientôt ce temps. Là. Nous.
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« Et tous les trains sont les bilboquets du diable Basse-cour Le monde moderne La vitesse n’y peut mais le monde moderne les lointains sont par trop loin et au bout du voyage c’est terrible d’être un homme avec une femme… » Cendrars, encore… Les trains finissent toujours par repartir…
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« les cils percent la neige » … et je ressens le froid, il me glace les yeux … jamais je n’ai voulu tant voir ! amitié .
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