Ce matin, envie d’écrire, de ne pas partir
De murmurer à l’oreille des absents
De ceux dont la présence
Semble virtuelle
Mais non, sont là auprès de moi
A chaque mouvement de tête
A chaque coin de rue
A chaque battement de cils
Et ils vont voir ce matin, cette réunion
Avec un qui existe
Un fat, une baudruche à piquer
C’est grave docteur ?
je ne sais pas détester
juste être indifférente
Mais là je ne peux pas faire
Il est ce que je ne supporte pas
Je voudrais faire l’école buissonière
C’est physique, bouhhh il me déplait
Il me navre, me répugne…
Alors je fermerai les yeux et je verrai
Cette photo de Dominique sur son dernier article
Brigitte dans mes bras, regards d’amour, rires
DEB qui me serre fort et me sourit
La Zineb sur la vidéo du blog
Je verrai le ciel blanc de la neige à tomber
Je verrai le banc brillant de la gelée du matin
Je verrai Paris dans tout sa merveille
Je verrai vous dans toutes nos promesses de demain.
courage courage ! courage ! il en faut, je connais… j’ai connu je connais et nous connaîtrons tous, toujours… ici le soleil brille, je t’en mets un morceau pour la route.
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Je t’envoie des photos pour le dessous des yeux (si y’en avait besoin !) et je suis dans ta poche, et quand tu sortiras ton paquet de clopes pour la pause, je sortirai de ta doublure, et toc !!! (on est des magiciennes !) on la fumera ensemble sur le ptit muret où nous étions assises. Allez ! ça va fort ! wouais !!!!!!! hip hip hip ! wouais !
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Ce serait « dur » pour moi aussi et pourtant quand il faut : faire le jocrisse faisons … à l’heure présente, c’est déjà du passé ! amitié .
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Que nous sommes belles et que vous êtes beaux ! Des loupes entre mes cils…
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